La marijuana et la santé sexuelle sont 2 notions relatives. En effet, la marijuana est qualifiée de drogue douce ou de stupéfiant extraits des feuilles et sommités fleuries Cannabis sativa, réduites en poudre, que certaines personnes fument pour booster l’excitation intellectuelle et l’euphorie qu’elles procurent. Certains pays sont favorables à la consommation de la marijuana, tandis que d’autres, comme la France, ne le sont pas, et ce, pour des raisons d’ordre sanitaire ou autre. Toutefois, il faut faire preuve de prudence lors de sa consommation et sur son impact sur la sexualité.
La marijuana peut-elle jouer un rôle de contraceptif ?
D’un point de vue scientifique, la marijuana peut jouer un rôle d’activateur du sperme car elle permet d’activer de façon précoce les spermatozoïdes pour ainsi les épuiser à leur destination finale. Sachez que pour pénétrer dans la zone externe de l’ovule, les spermatozoïdes doivent être activés et il incombe au milieu alcalin de l’utérus de produire l’activation requise pour pouvoir larguer les protons des spermes. Puis, en étant conscient des effets négatifs de la marijuana sur la santé sexuelle, la marijuana peut donc impacter sur la fertilité, sur la production de sperme, sur la mobilité des spermatozoïdes, sur la durée de vie du sperme, sur la qualité du sperme, sur l’orgasme féminin, sur la fréquence des rapports sexuels, sur la menstruation, sur la reproduction, etc. Par conséquent, elle peut limiter les fonctions sexuelles.
En sommes, celle-ci peut valoir comme un outil contraceptif pour les gents masculine et féminine. Pour plus de détails, cliquez sur sexualité et contraception.
Les utilisations légales de la marijuana
La marijuana ou cannabis est légalement consommable pour les motifs suivants.
En premier lieu, pour une utilisation agricole et industrielle, on cultive le chanvre pour ses qualités isophoniques et isothermique. Ainsi, il est possible de faire des cordages ou produire du papier et du textile résistant avec. Comme les bétons-briques-laines de chanvre sont très favorables a la régulation de la vapeur d’eau sur les murs et servir d’isolant traditionnel. Le chènevis peut être exploité pour une production d’huile ou de boisson ou de la farine consommables par l’être humain ou par les animaux. La moëlle centrale de la tige de la marijuana sert dans le cadre de litière ou paillis.
En second lieu, elle est conçue pour une utilisation psychotropique et récréative. En troisième lieu, elle est également spécialement conçue pour une utilisation médicinale et médicale. C’est de sa fonction thérapeutique que les législations cautionnent sa consommation, distribution, sa production et sa possession. Elle est prescrite à titre de sédatif, d’analgésique, d'antispasmodique, d'antiémétique… La marijuana peut ainsi traiter l’anorexie, l’asthme, le choléra, les diarrhées, la dégradation de la maladie du poumon, les douleurs, l’épilepsie, le glaucome, les hémorragies, l’hydrophobie, les inflammations, les insomnies, la maladie auto-immune, les maladies infectieuses, le rhumatisme, les spasmes, les symptômes psychiatriques, le tétanos, les tumeurs, les vomissements…
Les propriétés techniques de la marijuana
C’est une plante herbacée, faisant partie intégrante du cannabis, de l’espèce C, dotée une résine pour intervenir sur le système nerveux et produire l’euphorie, la somnolence, la relaxation éphémère, les rires soudains ainsi que la sensation de bien-être pendant une durée déterminée. Techniquement, celle-ci contient généralement du CBD, du CBN, du THC, du chanvre sativa, du chanvre indica, du chanvre ruderalis, du chanvre afghanica. Pour une consommation à dose normale, elle peut également intervenir sur le système cardiovasculaire pour générer le développement de la fréquence cardiaque. Les effets de la marijuana sont déclenchés notamment par des éléments cannabinoïdes ou plus précisément le THC.
Les effets de la marijuana sur la santé sexuelle
Déjà, la marijuana génère des effets physiologiques et psychologiques dans le corps humain. Ce n’est pas seulement les effets de l’alcool ou la fumette ou l’infidélité ou la violence physique. La marijuana consommée avec excès, ou à trop forte dose, influe négativement sur la sexualité du couple (hétérosexuel ou homosexuel). Trop submergée par la marijuana, le cerveau se trouve dans la difficulté d'émettre des messages d’excitation corporelle. Voilà pourquoi l’érection masculine demeure moins dense et le lubrifiant vaginal est moins abondant. C’est plutôt le THC extrait de la marijuana qui engendre des répercussions négatives sur la réponse sexuelle. Ce qui stimule la sexualité, limite la production de testostérone et de spermes, réduit le désir sexuel et entraîne le dysfonctionnement érectile ainsi que le trouble de l’orgasme.
Il s’ensuit également de la diminution de la libido, de l’aptitude en orgasme ainsi que la moyenne hebdomadaire ou mensuelle des rapports sexuels. Par conséquent, cela impacte sur la natalité ou du moins sur une éventuelle déformation du fœtus ou de l’enfant-né. Ce dernier risque de souffrir d’un retard mental, d'un trouble cognitif, d'un désordre comportemental, d’autisme, de la réduction du poids-taille... De même que la consommation de la marijuana pendant la grossesse, lors du premier trimestre de la gestation, influe négativement sur la croissance cérébrale du fœtus. À titre informatif, ces risques sont très courants dans les pays où la marijuana est légalisée. Prudence !