l’ensemble du mouvement de la francophonie est porté par un seul et même système, l’alphabet français. Partout le même, il enregistre tout de même quelques nuances en fonction des pays.
L’alphabet français en général
Quand on commence l’école, l’une des premières choses qu’on apprend c’est le sempiternel alphabet français. Pour apprendre à lire et écrire, former des mots, on a besoin de l’alphabet français. Avec la phonétique, cet alphabet est encore plus accessible.
Il est composé de 26 lettres qu’il a emprunté au Latin. Les diacritiques sont les lettres de l’alphabet devant prendre un accent. En français, les lettres devant prendre l’accent sont au nombre de 6 : a, e, i, o, u, y (accent aigu, grave, circonflexe, tréma) et la cédille pour la lettre c.
La ligature désigne les caractéristiques orthographiques de la langue française. Elles sont au nombre de deux : l’enclise du o et du e dans certaines situations (une sœur, un cœur). Il y a aussi l’enclise du a et du e comme dans le mot caete.
Comment toutes ces règles sont utilisées ailleurs ?
L’alphabet français, le Canada et la Côte d’Ivoire
Voici une question de curiosité que se pose souvent certains francophones à juste titre. Les ivoiriens et les canadiens apprennent-ils la langue et l’alphabet français comme le commun des mortels.
Ces deux peuples sont parvenus à réinventer l’alphabet français au point de populariser leurs expressions. Ils ont exploité et approfondi les combinaisons réalisables créant ainsi de nouveaux mots, de nouvelles expressions, élargissant les frontières conventionnelles de la langue.
Ce sont par ailleurs des pays qui assurent en concordance avec la francophonie, différents évènements afin de promouvoir la langue française.
Pour répondre à cette question sur l’apprentissage de l’
alphabet, il est évident qu’il est le même partout. Ce sont les influences qui expliquent qu’un peuple a plus d’aisance à tirer sur l’élasticité d’une langue. Par ailleurs, quand la proportion de jeune est plus importance ils ont tendance à laisser libre cours à leur imagination. Dans les deux exemples, la culture est beaucoup plus agissante.